Didier Gosuin, Françoise Schepmans et moi-même avons reçu ce matin les représentants des syndicats du secteur non-marchand bruxellois qui portaient leurs revendications pour la prochaine législature. Nous avons rappelé que lorsque le MR était aux commandes de la Région, les avancées pour le secteur ont été importantes et les engagements ont toujours été tenus. Sous la précédente législature dirigée par le MR, la dotation de la Cocof provenant de la Région bruxelloise est passée de 81 à 122 millions d’euros pour rencontrer une partie des demandes du secteur non-marchand. Ce n’était certes qu’un premier pas mais ce transfert avait le mérite d’exister.
Il faut bien constater qu'en 2004, l'Olivier a refusé d’inscrire le refinancement de la Cocof dans la déclaration gouvernementale bruxelloise et a tout misé sur des recettes provenant d’une éventuelle réforme institutionnelle. C’était une faute politique. De plus, durant cette législature qui s'achève, la majorité PS-CDH n'a jamais essayé d'arriver à un accord intra-francophone pour refinancer la Cocof et le secteur non-marchand.
De notre côté, des députés MR, tant wallons que bruxellois, ont déposé en décembre, au Parlement francophone bruxellois, au Parlement wallon et au Parlement de la Communauté française, des propositions de décret pour pérenniser de manière structurelle le financement de la Cocof. Mais, si la proposition a été inscrite la semaine dernière en commission Cocof, on ne peut que constater hélas que la majorité a reporté son examen aux calanques grecques.
Nous avons conclu la rencontre en rassurant les syndicats quant aux engagements du MR pour les élections et pour les négociations gouvernementales à venir. Nous poursuivrons nos actions à tous les niveaux de pouvoir mais surtout, si nous sommes autour de la table de négociations, nous mettrons le dossier du refinancement de la Cocof en priorité d'un accord gouvernemental et des engagements pour le secteur non-marchand pour 2006-2010 seront inscrits noir sur blanc dans les déclarations gouvernementales.
Il faut bien constater qu'en 2004, l'Olivier a refusé d’inscrire le refinancement de la Cocof dans la déclaration gouvernementale bruxelloise et a tout misé sur des recettes provenant d’une éventuelle réforme institutionnelle. C’était une faute politique. De plus, durant cette législature qui s'achève, la majorité PS-CDH n'a jamais essayé d'arriver à un accord intra-francophone pour refinancer la Cocof et le secteur non-marchand.
De notre côté, des députés MR, tant wallons que bruxellois, ont déposé en décembre, au Parlement francophone bruxellois, au Parlement wallon et au Parlement de la Communauté française, des propositions de décret pour pérenniser de manière structurelle le financement de la Cocof. Mais, si la proposition a été inscrite la semaine dernière en commission Cocof, on ne peut que constater hélas que la majorité a reporté son examen aux calanques grecques.
Nous avons conclu la rencontre en rassurant les syndicats quant aux engagements du MR pour les élections et pour les négociations gouvernementales à venir. Nous poursuivrons nos actions à tous les niveaux de pouvoir mais surtout, si nous sommes autour de la table de négociations, nous mettrons le dossier du refinancement de la Cocof en priorité d'un accord gouvernemental et des engagements pour le secteur non-marchand pour 2006-2010 seront inscrits noir sur blanc dans les déclarations gouvernementales.
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