Deux propositions de résolutions déposées au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles :
Belga : Pour réduire le déficit "évident" des connaissances linguistiques de la population francophone du pays, les FDF souhaitent un apprentissage précoce des langues. C'est le sens d'initiatives parlementaires des députés bruxelloises Isabelle Molenberg et Caroline Persoons aux parlements bruxellois et de la fédération Wallonie-Bruxelles.
Dans son Livre Blanc, le Conseil de l'Europe préconise que chaque citoyen maîtrise trois langues au sortir de son parcours scolaire obligatoire. En Belgique, et singulièrement dans la partie francophone du pays, on est loin du compte. Selon des chiffres publiés en 2007, 57% des Wallons ne connaissent qu'une seule langue, pour 28% en Flandre et 22% à Bruxelles. Seuls 7% des Wallons se disent trilingues (40% en Flandre et 31% à Bruxelles).
Belga : Pour réduire le déficit "évident" des connaissances linguistiques de la population francophone du pays, les FDF souhaitent un apprentissage précoce des langues. C'est le sens d'initiatives parlementaires des députés bruxelloises Isabelle Molenberg et Caroline Persoons aux parlements bruxellois et de la fédération Wallonie-Bruxelles.
Dans son Livre Blanc, le Conseil de l'Europe préconise que chaque citoyen maîtrise trois langues au sortir de son parcours scolaire obligatoire. En Belgique, et singulièrement dans la partie francophone du pays, on est loin du compte. Selon des chiffres publiés en 2007, 57% des Wallons ne connaissent qu'une seule langue, pour 28% en Flandre et 22% à Bruxelles. Seuls 7% des Wallons se disent trilingues (40% en Flandre et 31% à Bruxelles).
Pour les deux députées, c'est la faute aux faiblesses de la législation sur l'enseignement des langues, qui n'impose le néerlandais comme seconde langue à raison de 3 heures par semaines qu'à partir de la 3ème primaire (5 heures à partir de la cinquième) à Bruxelles. En Wallonie les premières périodes de cours dans une autre langue (anglais, néerlandais ou allemand) ne sont imposées modestement qu'à partir de la 5ème primaire.
L'apprentissage d'une troisième langue n'est organisé qu'à partir de l'enseignement secondaire.
Pour Isabelle Molenberg et Caroline Persoons, il importe d'entamer des formations aux langues bien plus tôt, en veillant à ne pas porter préjudice à la maîtrise de la langue maternelle. Leurs propositions de résolution à Bruxelles et au parlement de la fédération visent à encourager les autorités communautaires du pays à permettre l'apprentissage d'une troisième langue plus tôt qu'aujourd'hui dans les écoles bruxelloises.
Caroline Persoons a par ailleurs déposé au parlement de la fédération Wallonie-Bruxelles une proposition de résolution visant à encourager la découverte d'une deuxième langue, sur le mode ludique, dès la troisième maternelle. JDD/(WAE)/
L'apprentissage d'une troisième langue n'est organisé qu'à partir de l'enseignement secondaire.
Pour Isabelle Molenberg et Caroline Persoons, il importe d'entamer des formations aux langues bien plus tôt, en veillant à ne pas porter préjudice à la maîtrise de la langue maternelle. Leurs propositions de résolution à Bruxelles et au parlement de la fédération visent à encourager les autorités communautaires du pays à permettre l'apprentissage d'une troisième langue plus tôt qu'aujourd'hui dans les écoles bruxelloises.
Caroline Persoons a par ailleurs déposé au parlement de la fédération Wallonie-Bruxelles une proposition de résolution visant à encourager la découverte d'une deuxième langue, sur le mode ludique, dès la troisième maternelle. JDD/(WAE)/
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