Cette année a été placée par la Commission européenne sous le signe du dialogue interculturel. La diversité culturelle fait partie intégrante de l’histoire et constitue la base même de l’Europe. Si c’est une richesse, c’est aussi une difficulté. Bruxelles ne peut être insensible à ce sujet, elle qui est non seulement capitale de l’Europe mais aussi terre d’accueil d’une large immigration. Nous sommes quotidiennement confrontés à la réalisation de ce dialogue interculturel. "Comment faire vivre la diversité culturelle, tout en partageant et respectant des valeurs morales communes ?" L’Union européenne souhaite sensibiliser tous ses citoyens à cette question. La mondialisation économique et culturelle prend de plus en plus de place. Celle-ci permet une multiplication des échanges entre citoyens mais elle risque d’être étouffée par la culture dominante anglo-saxonne. Des conventions internationales comme celle de l’Unesco sur la diversité culturelle permettront de maintenir la diversité et l’exception culturelle.
Dans le cadre de cette année du dialogue interculturele, le Groupe des Intellectuels désigné par la Commission européenne a remis un rapport en décembre dernier. Je vous invite à lire ce texte de trente pages intitulé « Un défi salutaire : comment la multiplicité des langues pourrait consolider l’Europe ». Ce document, bien écrit et bien pensé, reprend des propositions audacieuses qui relèvent d’une vision élevée de cette diversité et de son respect. En choisissant cette orientation ambitieuse et réaliste, comme la qualifient les auteurs, de la notion de seconde langue personnelle adoptive, le rapport adopte un choix audacieux qui implique les États membres et les communautés, mais aussi l’Union européenne elle-même. Pour permettre au jeune d’apprendre une langue internationale, sa langue maternelle et une langue personnelle adoptive, l’école doit disposer de moyens importants.
Dans le cadre de cette année du dialogue interculturele, le Groupe des Intellectuels désigné par la Commission européenne a remis un rapport en décembre dernier. Je vous invite à lire ce texte de trente pages intitulé « Un défi salutaire : comment la multiplicité des langues pourrait consolider l’Europe ». Ce document, bien écrit et bien pensé, reprend des propositions audacieuses qui relèvent d’une vision élevée de cette diversité et de son respect. En choisissant cette orientation ambitieuse et réaliste, comme la qualifient les auteurs, de la notion de seconde langue personnelle adoptive, le rapport adopte un choix audacieux qui implique les États membres et les communautés, mais aussi l’Union européenne elle-même. Pour permettre au jeune d’apprendre une langue internationale, sa langue maternelle et une langue personnelle adoptive, l’école doit disposer de moyens importants.
Ce mardi au Parlement de la Communauté française, avec d'autres collègues, j'ai questionné le Gouvernement pour connaître son implication dans ce débat, ces projets... Voir interpellation
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