La presse d'aujourd'hui nous apprend que le gouvernement bruxellois est divisé sur les mesures à prendre pour réduire la congestion à Bruxelles. Dommage et grave pour Bruxelles. Des mesures claires, des actes forts doivent enfin être posés.
Nous défendons depuis longtemps l'idée de zones de basse émission et la pastille bleue pour les voitures les plus propres. Comme le rappelle Didier Gosuin : « Sans des mesures fortes contre la pollution atmosphérique, la qualité de l’air deviendra tout simplement dangereuse pour les Bruxellois. Cette mesure permanente et contraignante est dans nos programmes depuis des années simplement parce que c’est un système efficace qui ne nécessite pas des coûts d’infrastructures faramineux." A l’initiative du MR, le principe de la pastille bleue - qui consistait à empêcher la circulation des véhicules les plus polluants dans certaines zones soit les jours de prévision des pics, soit en permanence - a été adoptée en Conférence interministérielle de l’Environnement et de la mobilité (CIMIT/CIE) sous la législature 1999-2004. Mais en 2004, lors des changements de majorité dans les Régions, la mesure a été enterrée par la Région bruxelloise et le groupe de travail ne s’est jamais réuni. On a donc perdu 5 ans.
Maintenant, allons de l'avant et comme à Berlin et dans d'autres grandes villes européennes, osons fixer des zones de basse émission !
Nous défendons depuis longtemps l'idée de zones de basse émission et la pastille bleue pour les voitures les plus propres. Comme le rappelle Didier Gosuin : « Sans des mesures fortes contre la pollution atmosphérique, la qualité de l’air deviendra tout simplement dangereuse pour les Bruxellois. Cette mesure permanente et contraignante est dans nos programmes depuis des années simplement parce que c’est un système efficace qui ne nécessite pas des coûts d’infrastructures faramineux." A l’initiative du MR, le principe de la pastille bleue - qui consistait à empêcher la circulation des véhicules les plus polluants dans certaines zones soit les jours de prévision des pics, soit en permanence - a été adoptée en Conférence interministérielle de l’Environnement et de la mobilité (CIMIT/CIE) sous la législature 1999-2004. Mais en 2004, lors des changements de majorité dans les Régions, la mesure a été enterrée par la Région bruxelloise et le groupe de travail ne s’est jamais réuni. On a donc perdu 5 ans.
Maintenant, allons de l'avant et comme à Berlin et dans d'autres grandes villes européennes, osons fixer des zones de basse émission !
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