Aujourd'hui en séance plénière du Parlement de la Communauté française, près de 30 directeurs d'écoles, professeurs, échevins,... des écoles francophones de la périphérie étaient présents pour assister aux questions d'actualité portant sur le vote inadmissible du Parlement flamand qui, illégalement, prend l'inspection pédagogique des écoles francophones .
J'ai posé 4 questions au ministre-président Demotte et à la Ministre Simonet :
J'ai posé 4 questions au ministre-président Demotte et à la Ministre Simonet :
- On annonce un recours à la Cour Constitutionnelle : exact ? Y aura-t-il recours en suspension également ?
- Quid en pratique ? Quelles sont les conséquences pour les élèves et les profs ? Quid pour les quelque 2.600 enfants qui fréquentent ces écoles ? Quelles socles de compétences atteindre ? Leur CEB sera-t-il toujours délivré par la Communauté française ? Comment les instituteurs vont-ils faire face à ces inspecteurs flamands ? Et leurs formations ?
- L'inspection pédagogique de la Communauté française est-elle bien maintenue ?
- Quelles solutions pour l'avenir ? Le recours à la Cour Constitutionnelle est essentiel, indispensable mais va durer des années. Quelles suites donner à la demande issue des conseils communaux de Gorgenbos, Crainhem, Linkebeek, Wo, ... de voir la Communauté française reprendre clairement ces écoles ?
Le vote du parlement flamand est illégal, contraire à la loi du 21/07/1971, aux lois spéciales qui ont conclu les accords institutionnels des années antérieures (1980-1988-2001), à tout le fameux betonnage des facilités tant de fois revendu aux francophones.
C'est inadmissible et il ne faut jamais accepter, se résigner face à l'inadmissible.
C'est inadmissible et il ne faut jamais accepter, se résigner face à l'inadmissible.
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