Je m'étonne des propos de Christos Doulkeridis parus dans Le Soir d'aujourd'hui, qui casse la solidarité francophone dégagée ces derniers jours en réponse aux coups de boutoir des partis flamands.
Ch. Doulkeridis préfère faire reporter la charge de la crise communautaire actuelle sur un parti francophone, en l’occurrence le FDF, plutôt que de condamner les gifles assénées par les partis flamands. Dont acte...
La rupture du « pacte des Belges » en commission de l’intérieur, la négation par le Ministre Keulen du suffrage universel en périphérie et la volonté actuelle de priver la Communauté française de sa compétence sur les écoles francophones de la périphérie ne sont-elles vraiment qu’ «un petit jeu de surenchère communautaire » comme l’affirme le secrétaire politique de la régionale bruxelloise d’Ecolo ? L’appréciation est tout autre chez de nombreux francophones plus conscients de jour en jour du projet séparatiste flamand.
En Région bruxelloise et à la Commission communautaire française, Ecolo, avec ses partenaires de la majorité PS et CDH, a affaibli les intérêts francophones, en n’obtenant aucun refinancement de la Cocof, ni auprès du Gouvernement bruxellois ni auprès des autres entités francophones.
Je n'aime pas cette attitude qui consiste à se mettre des œillères quand on est à Bruxelles où soi disant tout va bien, en n’ayant pas le courage de voir et de dénoncer ce qui se passe en périphérie, à quelques kilomètres de la Grand Place.
L’avenir de Bruxelles passe par le respect des droits francophones en périphérie, à Bruxelles et au sein d’un Etat belge qui s’effiloche. La solution de bon sens qui n’est en rien « arrogante » mais qui demande beaucoup de courage politique et une volonté francophone inflexible, est celle de l’élargissement de la Région bruxelloise, aux six communes à facilités au moins. En critiquant les motions de solidarité, même au sein du Parlement francophone bruxellois, Christos Doulkeridis affaiblit cette volonté francophone.
Ch. Doulkeridis préfère faire reporter la charge de la crise communautaire actuelle sur un parti francophone, en l’occurrence le FDF, plutôt que de condamner les gifles assénées par les partis flamands. Dont acte...
La rupture du « pacte des Belges » en commission de l’intérieur, la négation par le Ministre Keulen du suffrage universel en périphérie et la volonté actuelle de priver la Communauté française de sa compétence sur les écoles francophones de la périphérie ne sont-elles vraiment qu’ «un petit jeu de surenchère communautaire » comme l’affirme le secrétaire politique de la régionale bruxelloise d’Ecolo ? L’appréciation est tout autre chez de nombreux francophones plus conscients de jour en jour du projet séparatiste flamand.
En Région bruxelloise et à la Commission communautaire française, Ecolo, avec ses partenaires de la majorité PS et CDH, a affaibli les intérêts francophones, en n’obtenant aucun refinancement de la Cocof, ni auprès du Gouvernement bruxellois ni auprès des autres entités francophones.
Je n'aime pas cette attitude qui consiste à se mettre des œillères quand on est à Bruxelles où soi disant tout va bien, en n’ayant pas le courage de voir et de dénoncer ce qui se passe en périphérie, à quelques kilomètres de la Grand Place.
L’avenir de Bruxelles passe par le respect des droits francophones en périphérie, à Bruxelles et au sein d’un Etat belge qui s’effiloche. La solution de bon sens qui n’est en rien « arrogante » mais qui demande beaucoup de courage politique et une volonté francophone inflexible, est celle de l’élargissement de la Région bruxelloise, aux six communes à facilités au moins. En critiquant les motions de solidarité, même au sein du Parlement francophone bruxellois, Christos Doulkeridis affaiblit cette volonté francophone.
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