Les problèmes rencontrés dans les transports scolaires organisés par la Cocof pour l’enseignement spécialisé m'ont amené à interroger régulièrement la Ministre Dupuis. 
Aujourd’hui, les témoignages de plus en plus nombreux nous montrent qu’il est plus que temps d’agir et de dénoncer ces dysfonctionnements graves qui touchent les enfants fréquentant l'enseignement spécialisé. Des temps de trajets beaucoup trop longs obligeant les enfants à passer, deux à trois heures par jour dans les bus, deux bus passant dans la même rue pour aller au même endroit, des retards réguliers, l'interdiction d'une liberté de choix d'école, l'interdiction de transports dits concurrents (!) organisés par les écoles elles-même,... tels sont quelques exemples entendus. Ma collègue, Isabelle Molenberg, et moi-même ferons un point presse ce jeudi 18 octobre à 14h30 pour dénoncer les dysfonctionnements et pour proposer des solutions.
Aujourd’hui, les témoignages de plus en plus nombreux nous montrent qu’il est plus que temps d’agir et de dénoncer ces dysfonctionnements graves qui touchent les enfants fréquentant l'enseignement spécialisé. Des temps de trajets beaucoup trop longs obligeant les enfants à passer, deux à trois heures par jour dans les bus, deux bus passant dans la même rue pour aller au même endroit, des retards réguliers, l'interdiction d'une liberté de choix d'école, l'interdiction de transports dits concurrents (!) organisés par les écoles elles-même,... tels sont quelques exemples entendus. Ma collègue, Isabelle Molenberg, et moi-même ferons un point presse ce jeudi 18 octobre à 14h30 pour dénoncer les dysfonctionnements et pour proposer des solutions.
Bien que non concernée pour ce problème précis, je vous remercie de vos prises de position et vous livre une information susceptible de vous intéresser.
RépondreSupprimerHabitant BXL, mon fils belgo-britannique fréquentait l'école du Verseau à Bierges et utilisait le car scolaire (qui avait lui-même remplacé le car de l'école pour cause de "concurrence déloyale")jusqu'au jour où ce service de car a été supprimé pour ceux qui ne se rendaient pas à "l'école la plus proche de leur domicile". Expliquer qu'à part l'usine-école européenne, il n'y avait pas d'école franco-anglaise de ce type à BXL était vain. Mon fils est ainsi entré en pension en GB. Le plus cocasse, c'est qu'il était impossible de se rendre à cette école de campagne par les transports en commun. Et puis, récemment, revoyant l'école avec mon fils, nous avons constaté qu'un bus des TEC a maintenant un arrêt (peu fréquent) devant l'école...